ebauche-d-un-portrait

la consolante

Dimanche 1er mars 2009 à 16:38

http://ebauche-d-un-portrait.cowblog.fr/images/mauricepontont.jpg
Cette époque s'éloigne toujours un peut plus
chaque fois que le jour se lève.
Cette nuit encore, je vais dormir
en serrant contre moi mes souvenirs
afin d'éviter que les vagues de la nuit ne m'enlèvent.

Ai Yazawa _ Nana

pix: par moi
Titre: Noir Désir_ Comme Elle Viens

Samedi 14 mars 2009 à 14:42

How can I try to explain, when I do it turns away again.
It's always been the same, same old story.
From the moment I could talk I was ordered to listen.
Now there's a way and I know that I have to go away.
I know I have to go.


http://ebauche-d-un-portrait.cowblog.fr/images/moigranderouetours.jpgPix: par moi, Tours
texte: Cat Stevens_ Father ans Son

Samedi 21 mars 2009 à 11:33

http://ebauche-d-un-portrait.cowblog.fr/images/vendomenoemie.jpgMa plus belle déclaration d'amour, c'est à toi que je l'ai faite. Pardonne-moi.
pix: Noémie par moi

Jeudi 26 mars 2009 à 18:53

http://ebauche-d-un-portrait.cowblog.fr/images/royanmanege.jpg
N
e rien dire. Ne rien avoir à faire, juste garder le sourire et cacher ce qu'on veut oublier au regard des autres. Ne rien laisser paraitre. Faire comme-ci rien ne s'était passé, comme-ci les mots n'avaient pas été prononcé. Rester assise là, le mal en poche et faire comme-ci tout allait bien. Regarder la vie défiller sous ses yeux et continuer de croire que ça va nous lâcher : cette douleur qui nous tiraille. Prendre son mal en patience. Montrer que nous aussi on avance. Ne pas rester sur place. Laisser les souvenirs et les mots de côté. Sourire encore parce que, au final, ça aide à tenir. Chasser la brume devant les yeux. Ne rien montrer, encore. Rire plus fort pour plus de conviction. Enfermer ses maux au fond de soi et avancer.
Oublier.
pix: Royan par moi

Samedi 6 juin 2009 à 15:59

http://ebauche-d-un-portrait.cowblog.fr/images/moihautesherbes.jpg
les forces attractives s'étaient liées contre moi. Mon coeur subissait une agitation hors du commun quand mes membres commencèrent à trembler. C'était à s'en arracher la peau, histoire de faire sortir ce qui démangeait, ce qui rongeait d'un seul coup. Viens le doute, qui réduit le sourire béat à néant et qui amène à la conscience le sentiment amère de culpabilité. Il n'y a rien à faire. Attendre. Attendre que le voile se dissipe, le chasser avec des grands gestes et brasser l'air autour de soi pour faire avancer les choses, et dans n'importe quelle direction pourvu qu'elles avancent. Pourvu que quelque chose change.
pix: par moi

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